Comme tu as grandi. C’est dommage, c’est affreux d’être adulte, crois-moi. Mais le carrousel ne s’arrête jamais de tourner, quoi qu’il arrive.
@ le-valemu on Tumblr

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Adam, MacMillan
39 ans/ Chirurgien plastique / Edimburg, Scotland, UK
Célibataire / FOREVER YOUNG / Eric Dane
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Such a wonderful world.

+ Il grandit dans les Highlands, symbole même de l’Écosse sauvage. Son père avait une distillerie très connue, sa mère était chirurgienne.
+ Un an après la naissance de Séonaid, sa petite sœur, son père meurt accidentellement. Sa mère va alors vivre chez sa soeur, à New-York.
+ Il entame des études de médecine. Après quelques heurts, il s'y met plus sérieusement. Devenu interne, il se passionne pour la chirurgie plastique, et au fil des années, se révèle très doué. Aujourd'hui, il est considéré comme un des meilleurs aux États-Unis pour la reconstruction faciale.
+ Pour compléter le cliché, Adam est un dragueur dans l'âme. Il multiplie les conquêtes, les aventures sans lendemain. Jusqu'au jour où il rencontre Emily, urgentiste. L'histoire d'amour qui avait commencé dans le sang se terminera dans le sang, puisque Emily meurt peu avant leur mariage, renversée à la sortie de l’hôpital.
+ Tiraillé par la culpabilité et effrayé à l'idée d'une nouvelle relation sérieuse, Adam en est revenu à son attitude de coureur de jupon. Et il n'a aucune limite... Après avoir été la cause de plusieurs ruptures, Adam a du mal à se faire apprécier de ces messieurs, qui ne l'aiment pas trop tant par jalousie que par crainte qu'il ne s'approche de leur copine.
+ Cinéphile invétéré, il a la sale manie de sortir trop souvent des répliques de film.
+ Sa façade d'homme sûr et fier de lui, un rien moqueur et tellement bien faite que peu se rendent compte de la sensibilité qu'il masque.

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Citation :

PSEUDO/PRENOM + P'tit Lu/Lucie. ÂGE + 18. CONNEXION + le week-end surtout COMMENTAIRE(S)/CASSDEDI + Merci au Grand esprit de la montagne (alias Juliet) pour m'avoir amené sur son super forum qui gère la fougère .

Te raconte pas d’histoire t’as le cœur entre les cuisses.
@ greysbabyy on Tumblr

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Tell me that life is beautiful.

Voilà. Il est revenu.

Six mois. Six mois à se morfondre, à regarder des photos et des vidéos, à contempler une vie promise à laquelle il ne goûtera jamais. Six mois à regretter de tout son être qu'un putain d'alcoolique ait confondu le frein avec l'accélérateur. Six mois à se maudire de ne pas l'avoir retenue, pour un café, de ne pas lui avoir parlé davantage. Une minute aurait suffi. Une minute.

Mais voilà. Il est revenu.

Un jour ça lui a pris. Il a quitté son sofa, véritable épave humaine à demi-noyée dans le whisky pur malt. Il s'est levé -enfin, comme il a pu- et a erré jusqu'à la douche. Il a alors pris une interminable douche glacée, comme pour arracher définitivement cette tristesse qui lui collait à la peau. Il s'est lavé de ses regrets, de sa haine, de ses larmes. Il a enfermé sa peine entre les murs blindés de son cœur. Puis il a ouvert les stores de son appartement, il a tout rangé, tout nettoyé, a jeté les cadavres de bouteilles, nectar vicieux qui l'avait fait lentement sombrer, et il a appelé l'agent immobilier. Il devait changer d'air. Changer de vie. Chasser le fantôme d'Emily. Oublier une vie qu'il n'aurait jamais.

Et puis, il a cherché. Malgré six mois d'absence, il n'a eu aucun mal à trouver. Ils l'ont accueilli avec un rien de suspicion, mais c'était juste pour la forme. Sa réputation était sa meilleure arme. Elle le précédait toujours de plusieurs jours, annonçant son arrivée à grand barrissements de rumeurs.

Et aujourd'hui il est là.

Au milieu de cette folle agitation. Les gens qui courent, les sirènes qui hurlent, les blessés, la mort. Lui traverse tout ça, le regard fixé sur l’ascenseur au fond du couloir. Et lorsqu'il se retourne et que les portes de l'ascenseur se referment sur les urgences bondées, lorsque la mort exhale sur lui son souffle glacial, il frissonne. Mais cela ne va pas plus loin. L'ascenseur le hisse hors de cet enfer de mort, jusqu'au troisième étage, aile gauche. Chirurgie plastique.

Il enfile son pyjama bleu, sa blouse. Et lorsque vient le moment d'ouvrir la porte des vestiaires, de se glisser à nouveau dans l'agitation fébrile du monde vivant, il n'a plus peur. Il n'appréhende plus de sentir le scalpel froid entre ses mains, d'ouvrir des visages. Car à cet étage, dans ce département, la mort ne rôde pas. Ici les gens viennent pour apprendre à revivre. Les gens viennent pour vivre mieux. Ils viennent pour effacer les marques que la vie lui a laissé, témoins presque indélébiles d'une tentative ratée de la grande faucheuse de les attraper. Et lui était là pour leur offrir cette chance, pour les aider à renaître. Ils venaient touts à lui, ils se précipitaient à l'hôpital de Boston. Il allait recoudre des mains, encourager des formes, reconstruire des visages. Il poussa la porte des vestiaires pour déboucher sur le couloir clair du département chirurgie esthétique de l’hôpital de Boston. Deux infirmières qui passaient lui sourirent, un médecin l'interpella.

Non, décidément, il n'avait pas peur.

Il avait même hâte.

Jax : Je te retourne le compliment... Ryan quoi
Merci

Juliet : MON AMOUUUUUUR AUSSIIIII

On va s'emmerder l'un l'autre et puis on fera pleins de bébés

ça va être bien :D

Petra : Merciiiii