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| Sujet: Sarah Parker (fini) Ven 2 Nov - 18:32 | |
| dans ce monde, tu as essayé, de ne pas me laisser seule derrière, il y a pas d'autre façon. J'ai prié les Dieux de le laisser rester. Les souvenirs calme la douleur à l'intérieur de nous. Maintenant je sais pourquoi.@ JOANNIES ON TUMBLR tumblr. Sarah Parker/i]35 ans / inspecteur de police / Boston mariée / The Reason / Sarah Michelle Gellar✣ ✣ ✣ Décrire ici tous les points importants concernant votre personnage. Ses manies, ses tics, des points de son passé, ses hobbies, sa couleur préférée, laissez libre court à votre imagination. Cette partie étant très libre, nous demandons au minimum sept points, simplement.
+ je suis une adepte du shopping, j'adore le shopping, je pourrais passer des heures dans un grand magasin au grand dam de mon mari... même ma fille aime ça, c'est pour dire, comme on dit telle mère, telle fille. + Ma fille et moi on se ressemble beaucoup, elle n'a que 3 ans mais déjà elle montre les mêmes signes que moi quand j'avais son âge. Mon mari dit souvent que dès fois il ne trouve pas sa place entre nous deux tellement elle et moi nous sommes fusionnelles. +J'adore les séries télés, les films, je suis une cinéphile et j'aime passer du temps devant la télévision, quand j'ai le temps évidement parce qu'avec mon métier, je n'ai pas toujours le temps. Et ne croyez pas que je délaisse ma fille pour regarder une série, non non mais c'est vrai que j'aime bien. Ca me permet de me sortir un peu du quotidien et de rêver. +Je suis une grande rêveuse ainsi qu'une grande romantique. Un peu trop peut être. A mon mariage, j'avais envie d'une cérémonie comme je voyais dans les films, je l'ai eu! +Je suis quelqu'un de droit, j'aime les choses bien faites, je suis une fonceuse, battante, mais je suis aussi quelqu'un de généreuse, de sensible. Je n'aime qu'on se fiche de ma gueule et encore moins qu'on se moque de moi. Mais si on me fait du mal, je suis capable de tout pour protéger les gens que j'aime. Ah j'oubliais, je suis une grande émotive, je suis capable de pleurer devant un épisode de la petite maison dans la prairie, ce qui fait mon caractère et que tout le monde m'apprécie, enfin je crois. +J'aime ma famille, j'ai besoin d'elle pour avancer. Quand j'étais petite, j'étais ultra protégée par mon père ou mon frère. Même encore aujourd'hui, on se protège les uns et les autres. Nous sommes une famille unie et pour rien au monde je ne changerais cela. On essaie au moins de se voir une fois par semaine en famille pour partager le repas ensemble. +Il paraît que j'ai la sale manie de toujours dire les heures avant que mes collègues me demandent l'heure, surtout ne me demander pas comment je fais ça, je n'en sais rien, tout ça est un mystère pour moi mais ça les fait bien rire... tant mieux tant que ça ne fait pas pleurer, c'est l'essentiel.Je suis née un 14 avril 1976, c'est-à-dire y a 36 ans à Boston. Mes parents ont déjà un fils, je suis la deuxième, suivie d’une petite sœur. Donc nous sommes trois, nous sommes une famille simple, modeste, on a jamais manqué de rien. On vivait dans une jolie maison, on avait même droit à chacun notre chambre, on était vraiment une famille unie, je dis était mais aujourd’hui, on l’est toujours puisqu’aujourd’hui on va se voir pratiquement toutes les semaines. J’étais une petite fille insouciante, aimant jouer à la poupée avec ma soeur, à la balançoire mais aussi au foot avec papa et mon frère. Une petite fille comme les autres. J’étais déjà contente quand je voyais mon père à la maison, je le voyais pas souvent puisque c’était un flic, il était un des chefs de la police et j’ai toujours été fascinée de ce qu’il faisait. Il était très respecté dans son travail, je savais que mon frère avait envie de faire le même métier que lui, d’ailleurs c’est ce qu’il fit, il sera aussi policier. Ma mère a plus au moins accepté le choix de mon frère mais quand moi plus tard je lui émis l’envie d’être flic, là, j’ai su de suite qu’elle n’appréciait pas ma décision et mon choix du métier. Mais bon j’étais attirée, je n’y pouvais rien, j’adorais quand mon père m’emmenait avec lui au commissariat de Boston pour me montrer ce qu’il faisait. Déjà j’étais douée avec les armes, je m’amusais à les monter avec mon père, je les montais comme un puzzle. Evidement, ma mère ne savait rien de tout ça, elle n’aurait certainement pas apprécié si elle savait que je joue avec des armes ! Mais je ne jouais pas avec des armes, pour moi c’était juste un amusement de pouvoir les monter. Les collègues de mon père s’amusaient à dire « Eh Jack, on dirait bien que ta fille va suivre tes traces aussi » ça les amusaient beaucoup de me voir au commissariat et moi j’aimais bien être avec le collègue de mon père. J’avais une super enfance et je savais que j’avais passé les années les plus heureuses de ma vie, c’était quand j’étais petite. A l’école, j’étais plutôt mal dans ma peau, d’être une adolescente, ce n’est pas toujours simple. Y a des jours ou ça va et des jours ou ça va moins bien, on cherche sa place. On parait sûr de soi mais en fait on ne l’est pas. J’ai même essayé de fumer mais je me suis prise une de ses leçons de morale par mes parents que ça m’a vite dissuadée de continuer. En plus je n’aimais pas ça alors voilà qui réglait le problème. J’étais plutôt populaire à l’école, toujours très entourée, pleins d’amies et d’amis, je ne m’ennuyais pas, je préférais m’amuser que d’étudier mais mon père m’a quand même fait remarquer un jour que si je voulais aussi devenir un flic, je me devais de travailler à l’école. Il n’avait pas vraiment tort, mes résultats scolaires étant pas vraiment bon, j’ai donc mis les bouchées doubles, j’ai évité de justesse un redoublement. J’avais compris qu’il fallait que je travaille, disons que j’ai vécu mes années lycée et que je les ai bien vécus. J’étais même tombée amoureuse pour la première fois d’un mec de 17 ans, un vrai coup de foudre mais le drame, ça n’a pas marché et il m’a planté au bal de fin d’année, ce qui m’a beaucoup blessé, j’ai beaucoup pleuré à cause de ce garçon et puis au lieu de me morfondre, j’ai préféré bosser et je passe haut la main puisque j’ai mon diplôme. Alors je suis très fière de moi et j’ai bien vu que dans les yeux de mes parents, ils étaient fiers aussi. Je sais que ça ne plait pas à ma mère le choix de mon futur métier mais il fallait bien qu’elle s’y fasse. J’avais choisi ma voie, c’est comme ça et puis pas autrement. Mes années dans l’école de police ne s’est pas faite comme ça en un clin d’œil, il fallait sans cesse que je prouve que je n’étais pas qu’une fille à papa puisque mon père était connu dans la police et qu’il était respecté pour ses prouesses de flic. Mon point fort, c’était la course et tous les défis qu’on pouvait proposer à l’entraînement. J’adorais monter les armes et les défaire, j’étais plutôt à bonne école quand j’étais gamine. A vingt ans, je m’éclatais dans cette école. J’avais soif d’apprendre, je voulais devenir le meilleur flic qu’il soit, c’était une façon pour moi d’aider les gens et de servir mon pays. Et puis surtout je ne me voyais pas faire autre chose. Je sais que ma sœur ne veut pas avoir à faire à la police, elle ne les aime pas, ça j’avais bien compris mais j’ai jamais vraiment su pourquoi. Peut être qu’un jour, elle arrivera à m’en parler. Ce qui est certain, c’est que les années d’école de police se passaient bien mieux qu’au lycée. J’explosais littéralement pour devenir l’une des premières élèves de ma promotion. Encore une fois, voyant la fierté dans les yeux de mon père mais aussi ceux de ma famille, j’étais gonflée à bloc ! Mon entrée au commissariat s’est pas trop mal passée, encore une fois, j’avais tout à prouver, d’être une fille à papa, ce n’est pas toujours bon et on devait constamment prouver qui on était. Les débuts ont été difficile, je savais que mon père ne ferait rien pour me faciliter la tâche, au commissariat, je le voyais autrement et interdiction de l’appeler papa quand il était en présence de ses collègues. C’était agent Parker. Papa j’avais le droit mais qu’en privé alors imaginez bien qu’au début, j’avais du mal à m’habituer de l’appeler agent Parker, ce qui me faisait rigoler à chaque fois. D’autant plus qu’il me colle un partenaire que je n’aime pas ! Je le trouvais déjà arrogant la première fois que je l’ai vu mais là de devoir faire équipe avec lui. J’avais beau protesté sur le fait que ça ne marcherait pas avec lui, mon père n’a rien voulu savoir. Plus les jours passaient, plus je désespérais avec lui. C’était un machiste pas possible, je ne supportais plus son attitude et encore moins sa façon de me parler. Il croyait que j’étais tout simplement incapable d’être un flic pourtant je lui ai cloué le bec quand je lui ai sauvé la vie lors d’une mission un peu délicate. Tout ça pour dire que depuis ce jour, il a changé d’opinion sur moi. Depuis on est devenu inséparable, des collègues hors pair. C’était un réel plaisir de travailler avec lui. Bon on avait parfois de belles engueulées mais dans l’ensemble tout se passait bien entre nous jusqu’à notre premier baiser ou on l’avait échangé dans la voiture alors qu’on était en planque. C’était magique et depuis on ne s’est plus quitté. On s’est même marié, mariage en grande pompe, il a été très vite adopté par toute ma famille. Notre lune de miel était magique, bref, je vivais sur un petit nuage rose… petit nuage rose qui se transforme bien vite en nuage noir. Depuis quelques temps, mon mari était tendu, je savais qu’il travaillait sur une affaire importante, je n’y étais pas, puisqu’on nous avait séparé, ce n’était pas toujours bon de travailler ensemble… puisqu’on vivait déjà ensemble, on se voyait quasiment tout le temps alors en plus d’être mariés… alors voilà mais c’est vrai que je le trouvais changé, plus agressif peut être jusqu’au jour ou… ou je suis partie de chez nous pour aller chez mes parents. Quand il est venu me chercher, il s’est promis d’être gentil, d’être un mari aimant et qu’il redeviendrait comme avant. Il s’est calmé c’est vrai. Surtout depuis que je lui annoncé que j’étais enceinte. Eh oui je suis enceinte de notre premier enfant. J’étais aux anges… mais comment concilié mari, métier et enfant ? Surtout mon métier parce que jamais je n’aurais pensé à être enceinte un jour et là je savais que je devrais faire plus attention. Pendant toute ma grossesse, j’ai passé mon temps au bureau, ce qui ne m’enchantait pas vraiment mais je n’avais pas le choix non plus. Il était hors de question que je prenne des risques pour mon bébé. Le jour où j’ai accouché, tout s’est bien passé… je mets au monde une adorable petite fille que je prénomme Emily. J’ai toujours aimé son prénom et j’avoue que mon mari n’a pas eu grand mot à dire sur le prénom. En peu de temps, j’avais construis une vie de famille, mis au monde une petite fille, mon métier que je devais mettre un peu entre parenthèse. J’avais l’impression de flotter… c’était une impression un peu bizarre. Etais je heureuse au fond ? . - Citation :
- PSEUDO/PRENOM + Sév / Séverine. ÂGE + 36 ans. CONNEXION + tous les jours si le forum me plaît. COMMENTAIRE(S)/CASSDEDI + merci à who I am de m'avoir conseillé ce forum, j'espère ne pas être déçue, j'ai vraiment besoin de me renouer avec les forums en ce moment.
Dernière édition par Sarah Parker le Dim 4 Nov - 13:05, édité 3 fois
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Juliet Hepburn I Love Him more than I Love Myself, which is a lot because I'm narcissistic.
+ MESSAGES : 741 + INSCRIT LE : 14/11/2011 + EMPLOI : Romancière + CITATION : If everyone demanded peace instead of another television set, then there'd be peace. ♥
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Nolhàn L. Jefferson
+ MESSAGES : 83 + INSCRIT LE : 30/10/2012 + EMPLOI : Chirurgien Cardiothoracique au Boston Medical Center. + CITATION : Croire en soi, c'est déjà presque réussir.
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